Jeudi 23 novembre 2006
Angélique Pojaghi est interviewée par ouest-France sur ses projets et aussi son opinion sur l'avenir de l'hôpital de Granville.
Rappel : on a pu lire début 2006 dans la presse l'appel du personnel, des édiles municipaux et départementaux vers l'état pour qu'il comble le déficit de fonctionnement (6Millions d'euros ). Ce déficit est à l'origine de la décision de fermer la maternité de Granville.
L'état a refusé. Et entend poursuivre la réorganisation entre les deux hôpitaux. Hélas les chiffres sont éloquents : le budget alloué à la santé en France dépasse les 9 Milliards d'euros de déficit pour 2006 et ce sera le cas pour 2007.
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Lu dans OUEST-FRANCE
Les futurs
infirmiers parlent aussi de l'hôpital
Angélique Pojaghi, est élève en troisième année à l'institut de formation en soins infirmiers de Granville. Elle craint que l'on se
retrouve à Granville « avec une grande
maison de retraite, un long-séjour immense. »
Départ de la maternité, chirurgie froide en danger... Pour les élèves de l'école d'infirmières, l'avenir de l'hôpital n'est pas sans
incidences.
Angélique Pojaghi, 20 ans, terminera bientôt ses études d'infirmière. A un an de cette échéance, elle n'a même pas besoin de
s'inquiéter pour son avenir. « En
novembre 2007, j'intègre le service de pédiatrie de l'hôpital
Robert-Debré, à Paris. » L'un des
meilleurs établissements de la
spécialité en France. « J'ai fait la demande cet été pour bénéficier
de l'aide financière de
l'Assistance publique des Hôpitaux de
Paris. La réponse est tombée en septembre. » Il y avait 35 demandes
venant de toutes la
France, 24 ont été retenues. « J'y suis
pour une année. Si je peux rester, je resterai. »
Avant de s'envoler vers la capitale,
Angélique devra achever sa troisième année à l'institut de formation
en soins infirmiers de
Granville. Dans sa promotion, ils sont
soixante-quatre élèves. « Plus jeune, je savais que c'était une
filière paramédicale dans
laquelle je voulais m'engager, explique
Angélique. Ce métier permet une approche pluridisciplinaire, au plus
près du patient.
Cela correspond parfaitement à mon idéal
de vie professionnelle. » Sans oublier que les débouchés ne posent
pas de difficultés. «
Ce n'est pas la motivation première mais
c'est un facteur important. En France, on n'a pas de problème
d'emploi chez les
infirmiers. »
L'hôpital de
Granville inquiète.
Malgré tout, l'annonce du regroupement
de la maternité à Avranches, et les grosses incertitudes qui pèsent
encore sur le maintien
d'une chirurgie programmée à Granville,
ne sont pas sans inquiéter ces futurs professionnels des soins. Le
départ des services
aura des répercussions très concrètes
sur le déroulement de leurs études. « En première et deuxième
années, nous effectuons cinq
stages de quatre semaines entrecoupés
par des semaines de cours, rappelle Angélique Pojaghi. Aujourd'hui,
ils se déroulent à
Granville, Avranches, mais aussi à
Pontorson pour la psychiatrie. » Problème : en cas de fermeture d'un
service sur un site, c'est
l'affluence dans les autres. « Nous
avons des stages en chirurgie, en médecine et pédiatrie. Et nous
sommes parfois deux ou trois
promotions en même temps. » Avec le
départ annoncé de la maternité, il n'y aura donc plus de stage «
enfant » à l'hôpital de
Granville. « On peut imaginer des stages
en crèche. Mais l'approche n'est pas du tout la même en externe. »
Qu'en sera-t-il en
début d'année ? Les personnels de la maternité eux-mêmes ne
connaissent pas encore les modalités concrètes
de leur transfert. Pourtant, on parle
déjà du lundi 8 janvier comme date de bascule. « Nous reprenons
justement nos stages le 8
janvier et nous ne savons pas encore si
on reste à Granville. » Sans compter que pour les jeunes infirmiers,
les entretiens se
déroulent en septembre-octobre pour une
embauche en décembre. Quelles seront les perspectives pour ceux qui
voulaient rester
à Granville ?
« Personnellement, je trouve que c'est
dommage de fermer un tel site pour des raisons financières,
sans chercher d'autres solutions,
estime Angélique. Pour les jeunes
mamans, ce n'est pas rassurant. Et une chirurgie, ça dynamise un
hôpital. J'ai peur que l'on se
retrouve avec une grande maison de
retraite, un long-séjour immense. »
Pascal SIMON.
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Lundi 25 Septembre
Guy Hollman était présent lors de notre réunion du 21 septembre, il tenait à montrer son intérêt pour notre association (photo en bas à droite).
il nous invite à une conférence à Granville le 9 octobre 2006 :
" Je donne une conférence à Granville salle St
Nicolas le 9 X sur le thème: Que peut faire la France face aux nouveaux
mastodontes
Chine Inde et demain Brésil. Evidemment, l'Union européenne sera abordée.
Vous êtes invité ainsi que vos collègues si vous le souhaitez". GH
21/04/06
Granville ville touristique - lu dans la Manche Libre le dossier sur la nécessité de développer le tourisme à Granville. Avec un désir d'inciter les" tour operators" à inclure Granville dans leurs dépliants.
Nous avons eu le problème en juin dernier d'un groupe de 50 touristes de Judenburg (Autriche). Ils sont arrivés à Paris et n'on trouvé qu'un tour operator qui offrait un arrêt à St Malo destination la plus proche de Granville. Au résultat ils n'ont pu passer d'une demi-journée à visiter Granville. Conseil : Faire du lobbying auprès des "Tour Operators", mais tant que nous n'aurons pas un parc hôtelier suffisant...
D'autre part ces "tour operators" amènent beaucoup de touristes étrangers, or ....
...J'en profite pour déplorer l'absence du double affichage (Français et anglais) dans les musées et autres lieux de visite à Granville. C'est la première critique formulée par nos amis européens en visite à Granville.
Concours d'entrée de ville réussie (Ligue urbaine et rurale) - Saluons l'effort de Ouest-France pour encourager un urbanisme de qualité dans nos entrées de ville(17 avril 06). En ce qui concerne Granville, on ne risque pas de gagner le concours : la pénétrante de la route de Villedieu est l'exemple typique de la dégradation de notre paysage urbain. On a laissé s'installer des services commerciaux sans contrainte urbanistique. Ce n'est que cubes bariolés avec des enseignes agressives. Allez faire un tour en Angleterre (pays du libéralisme...) où on oblige les grandes surface à respecter l'urbanisme local. Vous qui allez magasiner en ce lundi de Pâques, pensez-y!
Expo à Sévigné : à ne pas rater
| Des structures baptisées Popup L'artiste caennais Bernard Girault, graphiste de formation propose des œuvres originales baptisées Popup. Sans colle, sans ajout, sans retrait, chaque œuvre est un défi. Granville. Galerie d'art de Sévigné, Lycée Sévigné. 9 h à 12 h et 14 h à 17 h. Jusqu'au jeudi 13 avril. |
22 février 2006
11 Février : J'irai me recueillir sur sa tombe .
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Un européen (Par surcroît un anglais ) semble détenir le record de durée de séjour en notre bonne ville de Granville.
Je m’ explique :
Depuis 1827 cet européen se repose dans le cimetière de Saint Nicolas, . . . où il fut le premier à y être enterré.
Voilà ce que j’ ai appris grâce à l’ association de généalogie Mme Dodeman.
C.B. |
LE SAVIEZ VOUS ?
Des résultats plus rapides pour les paraplégiques
Une aide plus efficace aux paraplégiques: avec le soutien de la clinique universitaire Balgrist de Zurich, trois jeunes chercheurs zurichois ont développé un nouvel appareil d’ entraînement qui doit aider les patients à remarcher plus rapidement. «Notre robot de marche s’ enfile comme une sorte d’ armure. Les jambes du patient sont mises en mouvement de manière totalement automatique», expliquent les créateurs de cet appareil. Cet équipement est très prometteur. Le directeur adjoint de la société, Peter Hostettler, a obtenu le prix des jeunes entrepreneurs de la Fondation W.A. de Vigier pour cette idée novatrice baptisée Lokomat.
Le Normandy de Granville est le premier et le seul établissement en France à disposer du LOKOMAT, merveille de la robotique au service de la santé.
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