JEUDI 14 FEVRIER, LE SOLEIL BRILLE A LA PERMANENCE
Françoise
Labat Saint Vincent, correspondante de Ouest-France, ( Un moment
confondue avec une sympathisante venue spontanément à notre permanence )
prend note des réponses qu’ André lui donne avant la traditionnelle
photo pour son journal. Cela se passe dehors en dépit du froid, Phébus
n’ayant pas encore pris le large.
Après que chacun eut prouvé à sa façon qu’il était
toujours de bonne humeur, le travail sérieux a commencé.
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La
caravane sera constituée d’un minibus
Transporter
avec remorque pour sept personnes à bord dont six cyclistes, d’ une part et, d’
autre part, de deux voitures pour deux fois quatre personnes dont six cyclistes.
Il n’y avait pas de calculette dans la salle, néanmoins tout le monde est tombé
d’ accord sur les totaux, à savoir : 3 véhicules 15 personnes avec 13 vélos dont
3 chauffeurs.
D’
accord aussi pour que l’on se retrouve tous à Donaueschingen, sans que les
trois chauffeurs aient à se coordonner pour y arriver.
Toujours d’accord pour faire les réservations nécessaires aux dates fixées
dès que possible,
à Donaueschingen, à Bratislava ainsi que la veille et le soir de la visite de
Budapest. Concernant Zvolen, puis Zawoja , un comité d’ accueil nous est
promis dans ces deux villes. (Nous y reviendrons.) |
Si tout le monde était d’
accord sur tout, ce serait inquiétant.
C’est
ainsi que des avis divergent, lorsque Jean-Claude alias ‘’Kraftfahrer
‘’ insiste pour que toutes les réservations en auberges de jeunesse avec
chambres "familiales" et parking [dans la mesure du possible] se fassent avant
notre départ, afin que la progression vers l’Est ne se transforme pas en western
hasardeux.
Des
choix restent donc à faire, des décisions restent à prendre.
Il
nous faut examiner les meilleures solutions entre ces deux extrêmes :
1/
Gérer le risque sur place 48 heures avant ...
2/
Maîtriser totalement les réservations, afin de passer ensemble toutes les
soirées depuis l’ arrivée des cyclistes jusqu’ à leur départ après le petit
déjeuner.
Chacun
est invité à rechercher toutes informations utiles, afin que cette prise de
décision se fasse en connaissance de cause.
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Quelles
que soient les options retenues, il est évident que les cyclistes ne seront pas
en peloton sur 1000 km.
Par
contre personne ne devra être laissé seul, mais toujours inclus dans un mini
groupe de trois cyclistes minimum en possession d'un téléphone
mobile.
Le
devoir de solidarité de fait-il pas partie de nos qualités évidentes ?
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De
leur côté, les internautes se sont partagé le travail de recherche comme suit.
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