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Atelier : Stages en Entreprise à l’étranger Deux réunions : le Vendredi 11 Octobre 2002 de 14 à 17 H Le Samedi 12 Octobre 2002 de 8.30 à 10.30 H Participants : 27 inscrits Président de séance : M. Van de Kerchove assisté de M. Blaise tous deux chefs d’entreprise Les débats sont en anglais. Après un tour de table où les participants se présentent et parlent de leurs préparations pour l’atelier, la conversation va porter sur les différents types de législation nationale concernant les stages de jeunes en entreprises. Les débats vont s’éterniser sur la question, voire s’enliser. Le Président de séance, proposa un démarrage sur seulement deux pays ( Belgique et Luxembourg) qui ont déjà une habitude dans ce domaine. La réaction des autres villes fut unanime. Pas question ! A partir de là on se mit au travail d’une façon plus simple et pragmatique. Une mise au point de formulaires plus complets fut mis à l’étude. Quatre formulaires : Att
1
Possibilities of stages (coming from companies, hotels, etc…) Att 2
Jobs proposed by companies (not requested for schools – payed) Att A
Stages requests coming from students Att B
Jobs requests coming from students Ces formulaires devront nous parvenir assez vite. (envoyés par Houffalize) Un calendrier a été établi : - Pour Noël 2002 envoi des demandes et offre sur fiches à Houffalize. - Fin janvier 2003 les fiches sont dispatchées par Houffalize aux villes concernées.
Remarques:Nous avons travaillé sur ce dossier. Nous avons contacté des entreprises. Certaines sont partenaires du projet. Quand aux jeunes ayant postulé, nous avons une responsabilité à leur égard. (voir dossier) Pour cette raison, il nous faut faire quelques remarques : 1 – Houffalize nous avait demandé un sondage parmi les entreprises et les stagiaires potentiels. Hors à aucun moment on ne nous a demandé un bilan de ce travail. Sans constat de départ , le Président de séance, malgré toute sa bonne volonté, pataugeait et ne savait pas très bien où allait mener le travail. Pas d'objectifs précis à atteindre. On a frôlé la catastrophe. 2 – Beaucoup de représentants de villes n’avaient manifestement rien fait. Kötzting et Granville ont donné l’impression d’avoir préparé. Sherborne et Meerssen avaient réfléchi au problème. Pour le reste : silence radio. 3 – Houffalize a demandé un retour de toutes les fiches. Est-ce bien nécessaire ? Chaque ville pourrait envoyer ses fiches à ou aux villes concernées ce qui simplifierait le travail. 4 – On aurait dû exiger un contact pour chaque ville et la création d’une liste pour le mail. Cela n’a pas été fait et cela risque d'être un handicap quand on sait la difficulté que l'on peut rencontrer pour prende contact. 5 – Beaucoup de choses peuvent se résoudre en utilisant le réseau internet. Houffalize va-t-il pouvoir réussir ce challenge ? Nous l’espérons tous. La réussite de ce projet est en ce moment entre les mains d’Alphonse Henrard et nous ne pouvons que lui faire confiance. André Gendre le 24 Octobre 2002 |
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